Lentilles de contact et presbytie : comment m’orienter ?

Après avoir passé cinq bonnes minutes à discuter de leurs verres progressifs – qui n’allaient pas du tout « au début » mais « maintenant, je ne peux plus m’en passer ! » –, ou à profondeur de champ – parce que « je conduis encore sans lunettes mais je passe plus de 8 heures par jour sur écran » – ou encore de leur « super-vision de près » sans lunettes, les patients presbytes n’en ont pas terminé. « Et vous pensez que je pourrais porter des lentilles, docteur ? », vous lancent-ils alors que vous pensiez avoir enfin répondu à toutes leurs questions et leur avoir remonté le moral (car pour eux, « presbytie » rime avec « je vieillis »). Or, leur équipement contactologique n’est pas aussi simple et instantané qu’ils le croient. Alors, en tant que praticien, comment nous orienter de manière efficace face à une demande croissante ? En effet, environ 1 patient sur 2 est presbyte en France, à l’heure actuelle.

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