Un tableau atypique de drusen papillaires : un train peut en cacher un autre
Figure 3. Altération bilatérale diffuse de la couche des fibres optiques et des images hyporéflectives, avec une bordure hyperréflective correspondant aux drusen papillaires (flêches).
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Figure 3. A. Drain suprachoroïdien (Cypass, Alcon) inséré en postérieur de la bande ciliaire. B. Image OCT swept source de segment antérieur montrant le drain dans l’espace suprachoroïdien et une hyporéflectivité autour témoignant d’un drainage de l’humeur aqueuse.
Figure 2. A. Drain transscléral ab interno (XEN, Allergan) avec présence d’une bulle de filtration. B. Image OCT swept source de segment antérieur montrant le drain qui draine l’humeur aqueuse dans l’espace sous-conjonctivo-ténonien et la présence d’une bulle de filtration avec des microkystes intraconjonctivaux.
Bilan et diagnostic différentiels d’une DMLA atrophique : ne pas passer à côté d’une autre maladie
Figure 1. Imagerie multimodale d’un cas de maladie de Stargardt chez une patiente âgée de 58 ans. À la rétinophotographie « ultra grand champ » (première ligne) l’aire atrophique est perçue comme une lésion blanchâtre arrondie, associée à une visibilité accrue des gros vaisseaux choroïdiens au pôle postérieur. La moyenne périphérie est sans altérations. Sur le bord de l’atrophie, on observe la présence de pigment maculaire. En autofluorescence (deuxième ligne), la zone d’atrophie est hypo-autofluorescente, entourée par un halo hyper-autofluorescent. L’OCT (troisième ligne) montre un amincissement de l’ensemble des couches dans la zone atrophique, associé avec un épargne fovéolaire.
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Bilan et diagnostic différentiels d’une DMLA atrophique : ne pas passer à côté d’une autre maladie
Figure 3. Imagerie multimodale d’un cas de dystrophie pseudovitelliforme chez une patiente âgée de 76 ans. Dans son stade atrophique (première ligne), la dystrophie pseudovitelliforme montre une page d’atrophie ronde, symétrique, entourée par un bord hyperréflectif en autofluorescence (carré bleu). Cette plage d’atrophie ne s’étend pas au fil du temps. L’œil controlatéral montre une étape plus précoce, caractérisé par une hyperfluorescence propre à la dystrophie pseudovitelliforme.
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Bilan et diagnostic différentiels d’une DMLA atrophique : ne pas passer à côté d’une autre maladie
Figure 2. Imagerie multimodale d’un cas de dystrophie réticulée chez un patient âgé de 84 ans. En autofluorescence (carré bleu) et aussi en cliché monochromatique en lumière bleue, on observe l’aspect « réticulé » caractéristique. En OCT, on constate une diminution diffuse de l’épaisseur rétinienne sans épargne fovéolaire.
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Figure 5. Kératite à staphylococcus aureus associée à une insuffisance limbique chez une patiente porteuse souvent nocturne de lentilles de contact souples hydrophiles mensuelles.
Fistule artérioveineuse durale du sinus caverneux : un risque ophtalmologique et neurologique
Photographie du segment antérieur de l’œil gauche : dilatation des vaisseaux épiscléraux et conjonctivaux en tête de méduse, chémosis inférieur, hyperhémie conjonctivale. Il n’existe pas d’exophtalmie.
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Apport de l'OCT Spectral Domain dans les syndrômes des taches blanches
ARPE (Acute Retinal Pigment Epitheliitis). Disruption de la ligne IS/OS à la phase aiguë (a) avec autorésolution anatomique et fonctionnelle à 21 jours (b). L’OCT en face retouve cette lésion sous la forme d’une hyperréflectivité rétrofovéolaire, circulaire, de la rétine externe (c).
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Membranes maculaires secondaires à une déhiscence rétinienne avec ou sans décollement de rétine : conduite à tenir
Patient de 72 ans, opéré de décollement de rétine total, présentant, deux mois après la chirurgie, un volumineux pucker extrafovéolaire tractant le pôle postérieur en temporal (cercle blanc). La rétine interne est plissée (flèche blanche). L’acuité visuelle a chuté de 4/10 après la chirurgie à 0,5/10.
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CDI/EDI OCT en mode SD-OCT, EDI et CDI d’une DMLA exsudative. En mode EDI, la choroïde est bien visualisée, aux dépens des structures rétiniennes internes et du vitré postérieur. En mode CDI, il existe un compromis permettant à la fois la visua lisation de la choroïde et de la rétine interne.
Image en autofluorescence centrée sur la macula. On voit l’hypoautofluorescence physiologique des vaisseaux rétiniens et de la papille. En revanche, on distingue l’hypoautofluorescence pathologique des zones d’atrophie maculaire et péripapillaire.
Figure 2. Images hyporéflectives bilatérales kystiques au sein de la couche nucléaire interne, en inter-papillomaculaire à droite, et plus étendues à gauche.
Figure 3. Altération bilatérale diffuse de la couche des fibres optiques et des images hyporéflectives, avec une bordure hyperréflective correspondant aux drusen papillaires (flêches).
Figure 2. Images hyporéflectives bilatérales kystiques au sein de la couche nucléaire interne, en inter-papillomaculaire à droite, et plus étendues à gauche.
Figure 3. Altération bilatérale diffuse de la couche des fibres optiques et des images hyporéflectives, avec une bordure hyperréflective correspondant aux drusen papillaires (flêches).
Figure 2. Images hyporéflectives bilatérales kystiques au sein de la couche nucléaire interne, en inter-papillomaculaire à droite, et plus étendues à gauche.
Figure 3. A. Drain suprachoroïdien (Cypass, Alcon) inséré en postérieur de la bande ciliaire. B. Image OCT swept source de segment antérieur montrant le drain dans l’espace suprachoroïdien et une hyporéflectivité autour témoignant d’un drainage de l’humeur aqueuse.
Figure 2. A. Drain transscléral ab interno (XEN, Allergan) avec présence d’une bulle de filtration. B. Image OCT swept source de segment antérieur montrant le drain qui draine l’humeur aqueuse dans l’espace sous-conjonctivo-ténonien et la présence d’une bulle de filtration avec des microkystes intraconjonctivaux.
Figure 3. A. Drain suprachoroïdien (Cypass, Alcon) inséré en postérieur de la bande ciliaire. B. Image OCT swept source de segment antérieur montrant le drain dans l’espace suprachoroïdien et une hyporéflectivité autour témoignant d’un drainage de l’humeur aqueuse.
Figure 2. A. Drain transscléral ab interno (XEN, Allergan) avec présence d’une bulle de filtration. B. Image OCT swept source de segment antérieur montrant le drain qui draine l’humeur aqueuse dans l’espace sous-conjonctivo-ténonien et la présence d’une bulle de filtration avec des microkystes intraconjonctivaux.
Figure 2. A. Drain transscléral ab interno (XEN, Allergan) avec présence d’une bulle de filtration. B. Image OCT swept source de segment antérieur montrant le drain qui draine l’humeur aqueuse dans l’espace sous-conjonctivo-ténonien et la présence d’une bulle de filtration avec des microkystes intraconjonctivaux.
Figure 3. A. Drain suprachoroïdien (Cypass, Alcon) inséré en postérieur de la bande ciliaire. B. Image OCT swept source de segment antérieur montrant le drain dans l’espace suprachoroïdien et une hyporéflectivité autour témoignant d’un drainage de l’humeur aqueuse.
Figure 3. Imagerie multimodale d’un cas de dystrophie pseudovitelliforme chez une patiente âgée de 76 ans. Dans son stade atrophique (première ligne), la dystrophie pseudovitelliforme montre une page d’atrophie ronde, symétrique, entourée par un bord hyperréflectif en autofluorescence (carré bleu). Cette plage d’atrophie ne s’étend pas au fil du temps. L’œil controlatéral montre une étape plus précoce, caractérisé par une hyperfluorescence propre à la dystrophie pseudovitelliforme.
Figure 2. Imagerie multimodale d’un cas de dystrophie réticulée chez un patient âgé de 84 ans. En autofluorescence (carré bleu) et aussi en cliché monochromatique en lumière bleue, on observe l’aspect « réticulé » caractéristique. En OCT, on constate une diminution diffuse de l’épaisseur rétinienne sans épargne fovéolaire.
Figure 1. Imagerie multimodale d’un cas de maladie de Stargardt chez une patiente âgée de 58 ans. À la rétinophotographie « ultra grand champ » (première ligne) l’aire atrophique est perçue comme une lésion blanchâtre arrondie, associée à une visibilité accrue des gros vaisseaux choroïdiens au pôle postérieur. La moyenne périphérie est sans altérations. Sur le bord de l’atrophie, on observe la présence de pigment maculaire. En autofluorescence (deuxième ligne), la zone d’atrophie est hypo-autofluorescente, entourée par un halo hyper-autofluorescent. L’OCT (troisième ligne) montre un amincissement de l’ensemble des couches dans la zone atrophique, associé avec un épargne fovéolaire.
Figure 2. Imagerie multimodale d’un cas de dystrophie réticulée chez un patient âgé de 84 ans. En autofluorescence (carré bleu) et aussi en cliché monochromatique en lumière bleue, on observe l’aspect « réticulé » caractéristique. En OCT, on constate une diminution diffuse de l’épaisseur rétinienne sans épargne fovéolaire.
Figure 3. Imagerie multimodale d’un cas de dystrophie pseudovitelliforme chez une patiente âgée de 76 ans. Dans son stade atrophique (première ligne), la dystrophie pseudovitelliforme montre une page d’atrophie ronde, symétrique, entourée par un bord hyperréflectif en autofluorescence (carré bleu). Cette plage d’atrophie ne s’étend pas au fil du temps. L’œil controlatéral montre une étape plus précoce, caractérisé par une hyperfluorescence propre à la dystrophie pseudovitelliforme.
Figure 1. Imagerie multimodale d’un cas de maladie de Stargardt chez une patiente âgée de 58 ans. À la rétinophotographie « ultra grand champ » (première ligne) l’aire atrophique est perçue comme une lésion blanchâtre arrondie, associée à une visibilité accrue des gros vaisseaux choroïdiens au pôle postérieur. La moyenne périphérie est sans altérations. Sur le bord de l’atrophie, on observe la présence de pigment maculaire. En autofluorescence (deuxième ligne), la zone d’atrophie est hypo-autofluorescente, entourée par un halo hyper-autofluorescent. L’OCT (troisième ligne) montre un amincissement de l’ensemble des couches dans la zone atrophique, associé avec un épargne fovéolaire.
Figure 5. Kératite à staphylococcus aureus associée à une insuffisance limbique chez une patiente porteuse souvent nocturne de lentilles de contact souples hydrophiles mensuelles.
Figure 5. Kératite à staphylococcus aureus associée à une insuffisance limbique chez une patiente porteuse souvent nocturne de lentilles de contact souples hydrophiles mensuelles.
Figure 5. Kératite à staphylococcus aureus associée à une insuffisance limbique chez une patiente porteuse souvent nocturne de lentilles de contact souples hydrophiles mensuelles.
Figure 5. Kératite à staphylococcus aureus associée à une insuffisance limbique chez une patiente porteuse souvent nocturne de lentilles de contact souples hydrophiles mensuelles.
Figure 5. Kératite à staphylococcus aureus associée à une insuffisance limbique chez une patiente porteuse souvent nocturne de lentilles de contact souples hydrophiles mensuelles.
Forum Toulousain d'ophtalmologie - Des étoiles plein les yeux -
Cette nouvelle édition 2025 touche plusieurs domaines de l’ophtalmologie et porte sur les -étoiles- - symptômes dont se plaignent nos patients, - taches que nous voyons sur la cornée, la rétine et ailleurs… - mais également innovations qui peuvent nous éblouir.