DMLA en Pratique. Journée d'enseignement. Maison de la Chimie. Informations : mail - Programme : Lien
Paris - France
Chirurgie réfractive - Cataracte -
ESCRS
43th ESCRS Meeting Informations et inscription : Lien
Cophenhague - Pays Bas
Glaucome -
Société Française du Glaucome
La Société Française du Glaucome se réunira pour son deuxième congrès d’automne au Palais des Congrès de Lyon
Le glaucome à angle ouvert de A à Z
Tous les aspects des glaucomes primitifs et secondaires à angle ouvert seront abordés : épidémiologie, physiopathologie, diagnostic clinique, imagerie, formes secondaires, et prise en charge médicale, laser et chirurgicale.
Figure 3. Zona ophtalmique : éruption vésiculeuse dans le territoire de la branche ophtalmique du nerf trijumeau. La présence d’une vésicule sur l’aile du nez (signe de Hutchinson) est un facteur de risque d’atteinte intraoculaire.
Figure 6. Implant de bimatoprost inséré sous forme d’anneau dans les culs-de-sac conjonctivaux, permettant une réduction de la PIO pendant plusieurs mois.
Ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab)
Figure 2. Cornée périphérique de l’œil gauche. Les ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab) sont bien visibles alors que le greffon présente une membrane de Descemet intacte.
Figure 1. Œil gauche opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis et 19 ans plus tôt d’une kératoplastie transfixiante. Le greffon cornéen reste clair et la PIO est normale.
Figure 5. OCT spectral domain de l’œil droit non greffé. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descemétique du greffon ont un aspect normal.
Figure 4. Œil droit opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis. La PIO est normale et la cornée claire. Noter la correctopie et le remaniement conjonctival liés à la chirurgie.
Figure 3. OCT spectral domain de l’œil gauche. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descémétique du greffon ont un aspect normal 19 ans après la greffe. On note néanmoins une variabilité de l’épaisseur épithéliale, fréquente après une greffe.
Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe
Figure 2. Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe (accident professionnel par disque de meuleuse). Remerciements au Pr Harold Merle.
OCT cornéen préopératoire suite à un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale
Figure 2. OCT cornéen préopératoire du patient de 17 ans ayant subi un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale.
A. Hyperréflectivité cornéenne mettant en évidence le caractère transfixiant de la plaie B. Hyperréflectivité rétro- et prédescemétique mettant en évidence l’infiltrat postérieur C. Hyporéflectivité arrondie rétrocornéenne mettant en évidence le CE (flèche orange).
Figure 1. Patient de 17 ans ayant subi un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale avec une acuité visuelle conservée à 10/10. A. Plaie cornéenne transfixiante avec infiltrat postérieur B. Plaie auto-étanche avec absence de Seidel à l’instillation de fluorescéine C. à J7 apparition d’un granulome inflammatoire rétrocornéen à 5h D. Corps étranger (CE) dans l’angle irido-cornéen visible en gonioscopie E. Disparition du granulome inflammatoire rétrocornéen après ablation chirurgicale du CE F. Gonioscopie postopératoire mettant en évidence des synéchies irido-cornéennes cicatricielles.
Mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure
Figure 3. Exploration de la plaie au bloc opératoire : mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure masquée initialement par le chémosis hémorragique.
Forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire
Figure 2. Examen à la lampe à fente après instillation de fluoresceine œil gauche présentant un signe de Seidel conjonctival : forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Figure 3. Patient présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire ; A. Cliché en autofluorescence de l’œil gauche montrant une hyperfluorescence à disposition péripapillaire (flèches jaunes) ; B. SD-OCT maculaire du même œil (la ligne verte indique la hauteur de coupe) mettant en évidence du fluide intra- et sous-rétinien en interpapillo-maculaire.
Figure 2. SD-OCT de l’œil droit d’un patient atteint de télengiectasies maculaires de type 2. On voit les cavités hyporéflectives associées à une interruption des couches externes de la rétine en temporal de la fovéa.
Figure 3. Zona ophtalmique : éruption vésiculeuse dans le territoire de la branche ophtalmique du nerf trijumeau. La présence d’une vésicule sur l’aile du nez (signe de Hutchinson) est un facteur de risque d’atteinte intraoculaire.
Figure 3. Zona ophtalmique : éruption vésiculeuse dans le territoire de la branche ophtalmique du nerf trijumeau. La présence d’une vésicule sur l’aile du nez (signe de Hutchinson) est un facteur de risque d’atteinte intraoculaire.
Figure 3. Zona ophtalmique : éruption vésiculeuse dans le territoire de la branche ophtalmique du nerf trijumeau. La présence d’une vésicule sur l’aile du nez (signe de Hutchinson) est un facteur de risque d’atteinte intraoculaire.
Figure 6. Implant de bimatoprost inséré sous forme d’anneau dans les culs-de-sac conjonctivaux, permettant une réduction de la PIO pendant plusieurs mois.
Figure 5. OCT spectral domain de l’œil droit non greffé. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descemétique du greffon ont un aspect normal.
Figure 4. Œil droit opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis. La PIO est normale et la cornée claire. Noter la correctopie et le remaniement conjonctival liés à la chirurgie.
Figure 3. OCT spectral domain de l’œil gauche. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descémétique du greffon ont un aspect normal 19 ans après la greffe. On note néanmoins une variabilité de l’épaisseur épithéliale, fréquente après une greffe.
Figure 1. Œil gauche opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis et 19 ans plus tôt d’une kératoplastie transfixiante. Le greffon cornéen reste clair et la PIO est normale.
Figure 5. OCT spectral domain de l’œil droit non greffé. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descemétique du greffon ont un aspect normal.
Figure 4. Œil droit opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis. La PIO est normale et la cornée claire. Noter la correctopie et le remaniement conjonctival liés à la chirurgie.
Figure 3. OCT spectral domain de l’œil gauche. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descémétique du greffon ont un aspect normal 19 ans après la greffe. On note néanmoins une variabilité de l’épaisseur épithéliale, fréquente après une greffe.
Ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab)
Figure 2. Cornée périphérique de l’œil gauche. Les ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab) sont bien visibles alors que le greffon présente une membrane de Descemet intacte.
Figure 4. Œil droit opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis. La PIO est normale et la cornée claire. Noter la correctopie et le remaniement conjonctival liés à la chirurgie.
Figure 3. OCT spectral domain de l’œil gauche. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descémétique du greffon ont un aspect normal 19 ans après la greffe. On note néanmoins une variabilité de l’épaisseur épithéliale, fréquente après une greffe.
Ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab)
Figure 2. Cornée périphérique de l’œil gauche. Les ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab) sont bien visibles alors que le greffon présente une membrane de Descemet intacte.
Figure 1. Œil gauche opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis et 19 ans plus tôt d’une kératoplastie transfixiante. Le greffon cornéen reste clair et la PIO est normale.
Figure 5. OCT spectral domain de l’œil droit non greffé. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descemétique du greffon ont un aspect normal.
Figure 3. OCT spectral domain de l’œil gauche. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descémétique du greffon ont un aspect normal 19 ans après la greffe. On note néanmoins une variabilité de l’épaisseur épithéliale, fréquente après une greffe.
Ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab)
Figure 2. Cornée périphérique de l’œil gauche. Les ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab) sont bien visibles alors que le greffon présente une membrane de Descemet intacte.
Figure 1. Œil gauche opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis et 19 ans plus tôt d’une kératoplastie transfixiante. Le greffon cornéen reste clair et la PIO est normale.
Figure 5. OCT spectral domain de l’œil droit non greffé. L’épithélium, la membrane basale, le stroma et le complexe endothélio-descemétique du greffon ont un aspect normal.
Figure 4. Œil droit opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis. La PIO est normale et la cornée claire. Noter la correctopie et le remaniement conjonctival liés à la chirurgie.
Ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab)
Figure 2. Cornée périphérique de l’œil gauche. Les ruptures de la membrane de Descemet (stries de Haab) sont bien visibles alors que le greffon présente une membrane de Descemet intacte.
Figure 1. Œil gauche opéré 57 ans plus tôt d’un iridenclésis et 19 ans plus tôt d’une kératoplastie transfixiante. Le greffon cornéen reste clair et la PIO est normale.
Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe
Figure 2. Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe (accident professionnel par disque de meuleuse). Remerciements au Pr Harold Merle.
Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe
Figure 2. Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe (accident professionnel par disque de meuleuse). Remerciements au Pr Harold Merle.
Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe
Figure 2. Plaie bipalpébrale transfixiante associée à une plaie du globe (accident professionnel par disque de meuleuse). Remerciements au Pr Harold Merle.
Figure 1. Patient de 17 ans ayant subi un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale avec une acuité visuelle conservée à 10/10. A. Plaie cornéenne transfixiante avec infiltrat postérieur B. Plaie auto-étanche avec absence de Seidel à l’instillation de fluorescéine C. à J7 apparition d’un granulome inflammatoire rétrocornéen à 5h D. Corps étranger (CE) dans l’angle irido-cornéen visible en gonioscopie E. Disparition du granulome inflammatoire rétrocornéen après ablation chirurgicale du CE F. Gonioscopie postopératoire mettant en évidence des synéchies irido-cornéennes cicatricielles.
OCT cornéen préopératoire suite à un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale
Figure 2. OCT cornéen préopératoire du patient de 17 ans ayant subi un traumatisme cornéen transfixiant d’origine végétale.
A. Hyperréflectivité cornéenne mettant en évidence le caractère transfixiant de la plaie B. Hyperréflectivité rétro- et prédescemétique mettant en évidence l’infiltrat postérieur C. Hyporéflectivité arrondie rétrocornéenne mettant en évidence le CE (flèche orange).
Mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure
Figure 3. Exploration de la plaie au bloc opératoire : mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure masquée initialement par le chémosis hémorragique.
Forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire
Figure 2. Examen à la lampe à fente après instillation de fluoresceine œil gauche présentant un signe de Seidel conjonctival : forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire.
Forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire
Figure 2. Examen à la lampe à fente après instillation de fluoresceine œil gauche présentant un signe de Seidel conjonctival : forte suspicion de plaie pénétrante du globe oculaire.
Mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure
Figure 3. Exploration de la plaie au bloc opératoire : mise en évidence d’une large plaie sclérolimbique supérieure masquée initialement par le chémosis hémorragique.
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Adaptation de lentilles sclérales ICD d’un diamètre de 16,5 avec une flèche de 4 300 µ.
L’appui conjonctival au bord étant serré avec un arrêt de circulation capillaire et un aspect de blanchiment (A), l’ouverture du rayon scléral (SLZ pour scleral landing zone) de -3 puis de -5 rend le port moins inconfortable (B). Malgré une mouillabilité insuffisante (C), les lentilles portées permettent une réhabilitation visuelle (2/10 OD et 5/10 OG) et la récupération d’une surface cornéenne beaucoup moins inflammatoire.
Les douleurs accompagnant sa kératite en bandelette (A) ont cédé à la pose d’une lentille en lotrafilcon de puissance nulle et de rayon 8,40 (B). Après 4 ans, l’état de surface cornéen s’est nettement amélioré (C).
Lésion pseudo-dendritique (A). Une semaine après mise en place du traitement, la topographie de l’ulcération s’est modifiée : plus étendue et sans pseudo-dendrites, avec persistance de la sensation douloureuse (B). La pose d’une lentille Senofilcon de Ro 8,4 et de puissance nulle a permis en 48 heures la cicatrisation complète (C et D).
Pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F)
La pose d’une lentille en lotrafilcon B à port continu pendant 30 jours (F) permet d’atténuer l’état inflammatoire cornéen, l’état trophique de la surface s’améliore (G et H).
Marianne, 95 ans, ne perçoit plus que les mouvements
DMLA (A et B), glaucome actuellement agonique (C), entropion (D, flèche), kératite chronique avec des néovaisseaux et une épithélialisation cornéens à gauche (E), ainsi que des précipités descémétiques pendant les poussées inflammatoires.
Figure 2. SD-OCT de l’œil droit d’un patient atteint de télengiectasies maculaires de type 2. On voit les cavités hyporéflectives associées à une interruption des couches externes de la rétine en temporal de la fovéa.
Figure 3. Patient présentant un syndrome de pachychoroïde péripapillaire ; A. Cliché en autofluorescence de l’œil gauche montrant une hyperfluorescence à disposition péripapillaire (flèches jaunes) ; B. SD-OCT maculaire du même œil (la ligne verte indique la hauteur de coupe) mettant en évidence du fluide intra- et sous-rétinien en interpapillo-maculaire.
DMLA en Pratique. Journée d'enseignement. Maison de la Chimie. Informations : mail - Programme : Lien
Chirurgie réfractive - Cataracte -
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Cophenhague - Pays Bas
43th ESCRS Meeting Informations et inscription : Lien
Glaucome -
Société Française du Glaucome
Lyon - France
La Société Française du Glaucome se réunira pour son deuxième congrès d’automne au Palais des Congrès de Lyon
Le glaucome à angle ouvert de A à Z
Tous les aspects des glaucomes primitifs et secondaires à angle ouvert seront abordés : épidémiologie, physiopathologie, diagnostic clinique, imagerie, formes secondaires, et prise en charge médicale, laser et chirurgicale.
Cette édition réunira de nombreux experts et praticiens dans le domaine de l'ophtalmologie pour explorer, via des présentations au format vidéo, les différents pôles de notre spécialité ainsi que le futur de notre discipline.
Le professeur Arnaud Sauer et son équipe pédagogique de l'université de Strasbourg (soutenus par CooperVision, Essilor, Topcon Healthcare, Precilens et Santen), mettent en place un « atelier universitaire sur la myopie de l’enfant » destiné aux ophtalmologistes ou internes en ophtalmologie. Celui-ci, certifié Qualiopi, se déroulera en deux sessions de deux jours (les 12-13 juin et les 16-17 octobre) dédiées au diagnostic et à la prise en charge de la myopie de l'enfant et combinera apports théoriques et ateliers pratiques. La formation doit ainsi permettre : de décrire l’épidémiologie de la myopie de l’enfant et de ses complications futures, d’organiser la consultation dédiée à la myopie de l’enfant, de connaître les différentes techniques de freination et leurs indications, de maîtriser la prescription et le suivi des verres de freination ou de l’atropine et de s’initier aux bases de l’adaptation aux lentilles de freination de la myopie.