Forum Toulousain d'ophtalmologie - Des étoiles plein les yeux -
Cette nouvelle édition 2025 touche plusieurs domaines de l’ophtalmologie et porte sur les -étoiles- - symptômes dont se plaignent nos patients, - taches que nous voyons sur la cornée, la rétine et ailleurs… - mais également innovations qui peuvent nous éblouir.
Résultats des séries de patients implantés de segments intracornéens allogéniques pour kératocône
Figure 1. Tomographie cornéenne par cohérence optique : le CAIRS est placé à 50% – et non à 80% comme pour les ICRS – de l’épaisseur cornéenne et mesure 402 μm d’épaisseur in vivo.
Lire l'article associé Résultats des séries de patients implantés de segments intracornéens allogéniques pour kératocône
Rétinopathie radique : diagnostic et prise en charge
Figure 4. Rétinographie grand champ montrant une papillopathie, une maculopathie et une rétinopathie radiques, avec un gros tronc vasculaire occlus (flèches) ainsi qu’une PPR laser complète, réalisée en prévention d’un glaucome néovasculaire en raison de l’irradiation des gros troncs vasculaires.
Rétinopathie radique : diagnostic et prise en charge
Figure 2. OCT-angiographie grand champ 18 mois après protonthérapie d’un mélanome choroïdien, montrant une rétinopathie, une maculopathie et une papillopathie radiques.
Doit-on opérer les membranes épirétiniennes à haute acuité visuelle ?
Figure 3. Désorganisation des couches rétiniennes internes (DRIL) chez un patient présentant une MER idiopathique. La limite entre les couches plexiforme et nucléaire internes (flèche orange) et entre les couches nucléaire interne et plexiforme externe (flèche bleue) sont irrégulières et non distinguables. Il existe des couches fovéolaires internes ectopiques (service d’ophtalmologie de l’hôpital Lariboisière).
Lire l'article associé Doit-on opérer les membranes épirétiniennes à haute acuité visuelle ?
Doit-on opérer les membranes épirétiniennes à haute acuité visuelle ?
Figure 1. Membrane épirétinienne idiopathique. Couche hyperréflective à la surface de la membrane limitante interne. Plis rétiniens et effacement de la dépression fovéolaire (service d’ophtalmologie de l’hôpital Lariboisière).
Lire l'article associé Doit-on opérer les membranes épirétiniennes à haute acuité visuelle ?
Quand et comment prescrire un traitement des paupières par lumière pulsée ?
Figure 2. Meibographie en transillumination avec le C-Diag® (clichés Dr Marty) : inflammation stade 0 à gauche (absence de télangiectasie) et stade 4 à droite (télangiectasies profondes).
Lire l'article associé Quand et comment prescrire un traitement des paupières par lumière pulsée ?
Traitement de première intention : iridotomie ou chirurgie du cristallin ?
Figure 3. Gonioscopie dynamique d’une fermeture primitive de l’angle sans synéchies périphériques : l’ensemble des structures de l’angle est visible, depuis l’anneau de Schwalbe jusqu’à la bande ciliaire.
Lire l'article associé Traitement de première intention : iridotomie ou chirurgie du cristallin ?
Traitement de première intention : iridotomie ou chirurgie du cristallin ?
Figure 1. Mesure de la flèche cristallinienne en OCT de segment antérieur (microns) : elle correspond à la mesure de la protrusion du cristallin en avant d’une ligne passant par les 2 éperons scléraux.
Lire l'article associé Traitement de première intention : iridotomie ou chirurgie du cristallin ?
Figure 2. Angiographie au vert d’indocyanine d’un patient présentant une CRSC chronique bilatérale. Notez l’asymétrie supérieure du drainage veineux choroïdien – étoiles rouges au niveau du territoire de la vortiqueuse temporale supérieure qui est dominant par rapport à celui de la temporale inférieure. Des pachyvaisseaux choroïdiens traversent la macula (flèche jaune).
Figure 1. Angiographie au vert d’indocyanine au temps intermédiaire d’un patient de 45 ans atteint d’une CRSC récidivante de son œil droit. Les plages d’hyperméabilité vasculaire choroïdienne sont bien visibles (flèches rouges).
Figure 1. Rétinophotos d’un patient myope fort présentant un glaucome traité par bithérapie. On note l’aspect dysversique des nerfs optiques qui présentent une large atrophie péripapillaire des 2 côtés. On note également l’atrophie choriorétinienne diffuse.
OCT-SD épithélial cornéen et rétro-illumination irienne combinés : contribution à une approche diagnostique multimodale de la pathologie cornéenne
Figure 6. Le Dupixent est un anticorps monoclonal qui bloque l’action de 2 cytokines, les interleukines 4 et 13. Ces protéines jouent un rôle dans les processus inflammatoires impliqués dans la survenue des symptômes de diverses maladies inflammatoires chroniques, telle la dermatite atopique, l’asthme, la polypose nasale. Environ 40 cas de kérato-conjonctivites iatrogènes ont été rapportés. Nous décrivons ici le premier cas de dystrophie de Cogan (Map Dot Fingerprint Dystrophy) induite par le Dupixent chez un patient que nous suivions depuis plusieurs années et qui a développé en quelques semaines une symptomatologie typique (kératalgie nocturne et au réveil, associée à un aspect sous-épithélial caractéristique (A) : l’irrégularité épithéliale est bien visible sur l’œil droit en rétro-illumination sur les cartes épithéliales (B) et en rétro-illumination, de façon superposée à l’image des implants multifocaux (C). Ces anomalies ont disparu en 3 mois à l’arrêt du traitement.
Lire l'article associé OCT-SD épithélial cornéen et rétro-illumination irienne combinés : contribution à une approche diagnostique multimodale de la pathologie cornéenne
OCT-SD épithélial cornéen et rétro-illumination irienne combinés : contribution à une approche diagnostique multimodale de la pathologie cornéenne
Figure 16. La dystrophie postérieure polymorphe est particulièrement bien visible sur l’image de rétro-illumination infrarouge par rapport à l’image de lampe à fente (B) ou de microscopie spéculaire (C).
Lire l'article associé OCT-SD épithélial cornéen et rétro-illumination irienne combinés : contribution à une approche diagnostique multimodale de la pathologie cornéenne
Évaluation de l’épithélium cornéen en OCT Spectral Domain
Figure 5. Insuffisance limbique : aspect en rayons de roue du mapping épithélial. Perte de la structure de la niche limbique sur les coupes limbiques. Hyperréflectivité de l’épithélium cornéen central.
Évaluation de l’épithélium cornéen en OCT Spectral Domain
Figure 2. Kératocône : aspect en donut du mapping épithélial (amincissement épithélial au sommet du cône entouré d’une couronne d’épaississement épithélial).
Place des technologies OCT Swept-Source dans l’analyse de la cornée
Figure 4. Coupe OCT Swept-Source (Anterion®) de segment antérieur d’un patient ayant été opéré de chirurgie combinée de la cataracte et de Descemet Membrane Endothelial Keratoplasty (DMEK) une semaine plus tôt. Les coupes apportent une information tant sur l’état de la cornée (A), qui présente des plis descemétiques sans opacité, que sur le positionnement du greffon enroulé en chambre antérieure (B), posant l’indication d’une intervention de repositionnement en urgence ou de changement de greffon. La qualité de la résolution et la profondeur de l’image permettent également d’analyser le positionnement de l’implant (C, ici en chambre postérieure non tilté), l’ouverture de l’angle iridocornéen – dont les mesures figurent également sur l’outil Metrics – et la présence d’une iridotomie périphérique dont on pourra juger le caractère transfixiant ou non.
Place des technologies OCT Swept-Source dans l’analyse de la cornée
Figure 3. Coupe OCT Swept-Source (Anterion®) de segment antérieur d’un patient adapté en lentilles sclérales. On retrouve sur cette coupe horizontale la lentille sclérale (A), la clearance apicale (B) et la clearance limbique (C). L’adaptation de ce patient présentant une cornée irrégulière est facilitée par la qualité et la reproductibilité des mesures.
Figure 2. Laser Elios en pratique clinique. Image fournie par le Pr Cédric Schweitzer (CHU de Bordeaux) pour illustrer le principe d’utilisation du laser ELIOS.
Figure 1. Numéro unique bien visible sur une lentille Precilens en lumière bleue avec filtre jaune après instillation d’une goutte de fluorescéine. Le « M » indique une lentille DRL de myopie.
Figure 2. Lentille hybride à la lampe à fente. A. Examen en lumière blanche sans coloration : mobilité, centrage, comportement de la jupe souple. B. Examen en lumière bleue avec instillation d’une goutte de fluorescéine macromolécule.
PAMM et risque cardiovasculaire : conduite pratique pour éviter que cela se complique davantage
Figure 2. Exemple de cascade ischémique. Homme de 60 ans présentant une OACR incomplète avec lésions de PAMM prédomi nant en périveinulaire et qui, 5 jours plus tard, développe une OACR complète avec une hyperréflectivité de toute la rétine en OCT [7].
Lire l'article associé PAMM et risque cardiovasculaire : conduite pratique pour éviter que cela se complique davantage
PAMM et risque cardiovasculaire : conduite pratique pour éviter que cela se complique davantage
Figure 3. Homme de 82 ans avec un diagnostic récent de maladie de Horton. L’imagerie rétinienne montre un retard de perfusion de la choriocapillaire en angiographie à la fluorescéine et un allongement du temps artérioveineux rétinien. De nombreuses lésions de PAMM sont visibles en OCT.
Lire l'article associé PAMM et risque cardiovasculaire : conduite pratique pour éviter que cela se complique davantage
PAMM et risque cardiovasculaire : conduite pratique pour éviter que cela se complique davantage
Figure 1. Comparaison de l’imagerie d’un nodule cotonneux et d’une lésion de PAMM. Les 2 lésions présentent un aspect blanchâtre mais en OCT, le nodule cotonneux se traduit par une hyperréflectivité des couches internes de la rétine, alors que la PAMM se traduit par une hyperréflectivité plus profonde, au niveau de la couche nucléaire interne.
Lire l'article associé PAMM et risque cardiovasculaire : conduite pratique pour éviter que cela se complique davantage
OVCR : quels sont les critères diagnostiques d’une forme ischémique ?
Figure. Association des différents signes précurseurs de rubéose irienne chez un même patient. 1. Dilatations micro-anévrysmales. 2. Dilatations radiaires. 3. Reperfusion de la collerette irienne.
Lire l'article associé OVCR : quels sont les critères diagnostiques d’une forme ischémique ?
Figure 2. Majoration de la rupture de la zone ellipsoïde au bout de 4 années de suivi. A. Image en face de l’examen en OCT structurel segmenté au niveau des couches externes réalisé en 2017. Plusieurs ruptures de la zone ellipsoïde sont entourées en jaune. B. B-scan de l’OCT avec signal de flux. Le plexus capillaire profond prolifère en regard des ruptures de la zone ellipsoïde. C. En 2021, les ruptures ont conflué en une seule large rupture (entourée en jaune). D. La prolifération capillaire est piégée dans une migration pigmentaire.
Figure 2. OCT-angiographie grand champ 18 mois après protonthérapie d’un mélanome choroïdien, montrant une rétinopathie, une maculopathie et une papillopathie radiques.
Figure 4. Rétinographie grand champ montrant une papillopathie, une maculopathie et une rétinopathie radiques, avec un gros tronc vasculaire occlus (flèches) ainsi qu’une PPR laser complète, réalisée en prévention d’un glaucome néovasculaire en raison de l’irradiation des gros troncs vasculaires.
Figure 1. Membrane épirétinienne idiopathique. Couche hyperréflective à la surface de la membrane limitante interne. Plis rétiniens et effacement de la dépression fovéolaire (service d’ophtalmologie de l’hôpital Lariboisière).
Figure 3. Désorganisation des couches rétiniennes internes (DRIL) chez un patient présentant une MER idiopathique. La limite entre les couches plexiforme et nucléaire internes (flèche orange) et entre les couches nucléaire interne et plexiforme externe (flèche bleue) sont irrégulières et non distinguables. Il existe des couches fovéolaires internes ectopiques (service d’ophtalmologie de l’hôpital Lariboisière).
Figure 1. Membrane épirétinienne idiopathique. Couche hyperréflective à la surface de la membrane limitante interne. Plis rétiniens et effacement de la dépression fovéolaire (service d’ophtalmologie de l’hôpital Lariboisière).
Figure 3. Désorganisation des couches rétiniennes internes (DRIL) chez un patient présentant une MER idiopathique. La limite entre les couches plexiforme et nucléaire internes (flèche orange) et entre les couches nucléaire interne et plexiforme externe (flèche bleue) sont irrégulières et non distinguables. Il existe des couches fovéolaires internes ectopiques (service d’ophtalmologie de l’hôpital Lariboisière).
Figure 2. Meibographie en transillumination avec le C-Diag® (clichés Dr Marty) : inflammation stade 0 à gauche (absence de télangiectasie) et stade 4 à droite (télangiectasies profondes).
Figure 1. Mesure de la flèche cristallinienne en OCT de segment antérieur (microns) : elle correspond à la mesure de la protrusion du cristallin en avant d’une ligne passant par les 2 éperons scléraux.
Figure 3. Gonioscopie dynamique d’une fermeture primitive de l’angle sans synéchies périphériques : l’ensemble des structures de l’angle est visible, depuis l’anneau de Schwalbe jusqu’à la bande ciliaire.
Figure 1. Angiographie au vert d’indocyanine au temps intermédiaire d’un patient de 45 ans atteint d’une CRSC récidivante de son œil droit. Les plages d’hyperméabilité vasculaire choroïdienne sont bien visibles (flèches rouges).
Figure 2. Angiographie au vert d’indocyanine d’un patient présentant une CRSC chronique bilatérale. Notez l’asymétrie supérieure du drainage veineux choroïdien – étoiles rouges au niveau du territoire de la vortiqueuse temporale supérieure qui est dominant par rapport à celui de la temporale inférieure. Des pachyvaisseaux choroïdiens traversent la macula (flèche jaune).
Figure 16. La dystrophie postérieure polymorphe est particulièrement bien visible sur l’image de rétro-illumination infrarouge par rapport à l’image de lampe à fente (B) ou de microscopie spéculaire (C).
Figure 6. Le Dupixent est un anticorps monoclonal qui bloque l’action de 2 cytokines, les interleukines 4 et 13. Ces protéines jouent un rôle dans les processus inflammatoires impliqués dans la survenue des symptômes de diverses maladies inflammatoires chroniques, telle la dermatite atopique, l’asthme, la polypose nasale. Environ 40 cas de kérato-conjonctivites iatrogènes ont été rapportés. Nous décrivons ici le premier cas de dystrophie de Cogan (Map Dot Fingerprint Dystrophy) induite par le Dupixent chez un patient que nous suivions depuis plusieurs années et qui a développé en quelques semaines une symptomatologie typique (kératalgie nocturne et au réveil, associée à un aspect sous-épithélial caractéristique (A) : l’irrégularité épithéliale est bien visible sur l’œil droit en rétro-illumination sur les cartes épithéliales (B) et en rétro-illumination, de façon superposée à l’image des implants multifocaux (C). Ces anomalies ont disparu en 3 mois à l’arrêt du traitement.
Figure 2. Kératocône : aspect en donut du mapping épithélial (amincissement épithélial au sommet du cône entouré d’une couronne d’épaississement épithélial).
Figure 5. Insuffisance limbique : aspect en rayons de roue du mapping épithélial. Perte de la structure de la niche limbique sur les coupes limbiques. Hyperréflectivité de l’épithélium cornéen central.
Figure 3. Coupe OCT Swept-Source (Anterion®) de segment antérieur d’un patient adapté en lentilles sclérales. On retrouve sur cette coupe horizontale la lentille sclérale (A), la clearance apicale (B) et la clearance limbique (C). L’adaptation de ce patient présentant une cornée irrégulière est facilitée par la qualité et la reproductibilité des mesures.
Figure 4. Coupe OCT Swept-Source (Anterion®) de segment antérieur d’un patient ayant été opéré de chirurgie combinée de la cataracte et de Descemet Membrane Endothelial Keratoplasty (DMEK) une semaine plus tôt. Les coupes apportent une information tant sur l’état de la cornée (A), qui présente des plis descemétiques sans opacité, que sur le positionnement du greffon enroulé en chambre antérieure (B), posant l’indication d’une intervention de repositionnement en urgence ou de changement de greffon. La qualité de la résolution et la profondeur de l’image permettent également d’analyser le positionnement de l’implant (C, ici en chambre postérieure non tilté), l’ouverture de l’angle iridocornéen – dont les mesures figurent également sur l’outil Metrics – et la présence d’une iridotomie périphérique dont on pourra juger le caractère transfixiant ou non.
Figure 1. Numéro unique bien visible sur une lentille Precilens en lumière bleue avec filtre jaune après instillation d’une goutte de fluorescéine. Le « M » indique une lentille DRL de myopie.
Figure 1. Numéro unique bien visible sur une lentille Precilens en lumière bleue avec filtre jaune après instillation d’une goutte de fluorescéine. Le « M » indique une lentille DRL de myopie.
Figure 1. Comparaison de l’imagerie d’un nodule cotonneux et d’une lésion de PAMM. Les 2 lésions présentent un aspect blanchâtre mais en OCT, le nodule cotonneux se traduit par une hyperréflectivité des couches internes de la rétine, alors que la PAMM se traduit par une hyperréflectivité plus profonde, au niveau de la couche nucléaire interne.
Figure 3. Homme de 82 ans avec un diagnostic récent de maladie de Horton. L’imagerie rétinienne montre un retard de perfusion de la choriocapillaire en angiographie à la fluorescéine et un allongement du temps artérioveineux rétinien. De nombreuses lésions de PAMM sont visibles en OCT.
Figure 1. Comparaison de l’imagerie d’un nodule cotonneux et d’une lésion de PAMM. Les 2 lésions présentent un aspect blanchâtre mais en OCT, le nodule cotonneux se traduit par une hyperréflectivité des couches internes de la rétine, alors que la PAMM se traduit par une hyperréflectivité plus profonde, au niveau de la couche nucléaire interne.
Figure 2. Exemple de cascade ischémique. Homme de 60 ans présentant une OACR incomplète avec lésions de PAMM prédomi nant en périveinulaire et qui, 5 jours plus tard, développe une OACR complète avec une hyperréflectivité de toute la rétine en OCT [7].
Figure 2. Exemple de cascade ischémique. Homme de 60 ans présentant une OACR incomplète avec lésions de PAMM prédomi nant en périveinulaire et qui, 5 jours plus tard, développe une OACR complète avec une hyperréflectivité de toute la rétine en OCT [7].
Figure 3. Homme de 82 ans avec un diagnostic récent de maladie de Horton. L’imagerie rétinienne montre un retard de perfusion de la choriocapillaire en angiographie à la fluorescéine et un allongement du temps artérioveineux rétinien. De nombreuses lésions de PAMM sont visibles en OCT.