DMLA

Le traitement de la DMLA exsudative a été révolutionné par l'avènement des anti-VEGF (bevacizumab, ranibizumab, aflibercept) qui a permis d'apporter une amélioration fonctionnelle chez des patients pour lesquels le pronostic visuel était jusqu'alors peu favorable. Cet article fait le point sur les principaux protocoles de traitement en comparant leurs modalités de réalisation, leurs avantages et inconvénients.

  Eylea (VEGF-Trap ou aflibercept, commercialisé par le laboratoire Bayer) est un traitement de première et deuxième intention dans la DMLA exsudative rétrofovéolaire, de la même façon que le ranibizumab (Lucentis). L'AMM européenne a été obtenue fin 2012 et la commission de transparence de la Haute Autorité de santé a donné un avis favorable au remboursement de  l'Eylea® 40mg/ml en ville et prise en charge à l'hôpital.  

La prise en charge des personnes malvoyantes, et plus particulièrement des personnes atteintes de maculopathie générant des scotomes maculaires, demande une approche de l'évaluation de la fonction visuelle qui doit faire intervenir une notion de quantité et de qualité visuelle. Elle a pour but essentiel d'améliorer le suivi du malvoyant lors des différentes consultations et de donner des résultats qui soient utilisables et reproductifs dans la plupart des cas.

Le thème du 3e symposium Optic 2ooo organisé pendant le congrès de la SFO 2013 montre que les recherches sur les thérapies géniques oculaires progressent. Cette manifestation a permis au Pr José-Alain Sahel de rappeler le rôle joué par l'Institut de la Vision, l'un des plus importants centres de recherche intégrée sur les maladies de la vision en Europe, et ses objectifs. Trois chercheurs ont présenté les avancées de projets phares : suivre à l'échelle microscopique la progression des lésions de la rétine grâce à l'imagerie par optique adaptative, restaurer la vision par la…

De nombreux traitements de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) de forme exsudative ou non exsudative sont à un stade de développement préclinique ou dans les étapes précoces des essais cliniques. Nous allons revoir les traitementsde la DMLA déjà établis ou émergents en fonction de leur mode d'action basé sur la physio-pathologie de la maladie. Ces informations sont intéressantes pour le développement rationnel des thérapies combinées.

La dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) représente un vrai problème de santé publique étant donné le nombre de patients atteints, qui dépasse le million en France, et vu la disponibilité actuelle de médications qui nécessitent une réutilisation régulière sur une durée d'au moins deux à trois ans pour être réellement efficaces sur le long terme. Un dernier problème, et non des moindres, est le mode d'administration de ces traitements qui est relativement invasif (voie intravitréenne) et plus ou moins bien supporté par les patients,même si les complications…

La dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) exsudative a une pathogénie multifactorielle et complexe qui induit une prolifération néovasculaire, une hyperperméabilité vasculaire, des dépôts extracellulaires, fibrose et inflammation. Le traitement standard actuellement admis est représenté par les injections intra-vitréennes répétées d'anti-VEGF dont le chef de fil est le ranibizumab 0,5 mg (Lucentis®) (études ANCHOR et MARINA). Mais à quel rythme ? Et pendant combien de temps ? L'objectif d'une combinaison de traitements est avant tout d'améliorer l'efficacité tout…

Le traitement de la néovascularisation rétrofovéolaire au cours de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) par le ranibizumab a imprimé un réel tournant dans la prise en charge de cette affection dégénérative invalidante. Le traitement est efficace si et seulement si les injections sont répétées mensuellement ou de manière ciblée, personnalisée, en modulant soit le délai d'injection, soit le nombre d'injections, selon des données d'études et d'observations cliniques qui seront développées dans cet article.

La dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) est la première cause de malvoyance après 50 ans dans les pays développés. Environ un million de personnes souffrent de cette maladie en France, dont 30 % des personnes de plus de 80 ans (ANAES de 2001). Deux formes cliniques principales caractérisent la maladie : la forme exsudative classiquement la plus sévère, et la forme atrophique, plus lentement évolutive. D'abord considérée comme une maladie simplement liée au vieillissement rétinien, des facteurs de risques environnementaux (notamment le tabac) puis génétiques ont…

La prise en charge globale d'un patient présentant une maculopathie liée à l'âge (MLA) ou une dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) ne peut pas faire abstraction aujourd'hui de l'aspect préventif de la maladie. Celle-ci s'articulait essentiellement autour des antioxydants, mais depuis l'étude AREDS I, d'autres voies de prévention ont été explorées. À partir d'une meilleure connaissance des mécanismes physiopathogéniques de la maladie, l'hypothèse du rôle protecteur des acides gras insaturés de la famille des oméga-3 et des caroténoïdes, composants du pigment…

Une nouvelle molécule pour le traitement de la DMLA exsudative devrait être commercialisée prochainement : le VEGF Trap-Eye ou aflibercept, commercialisé par le laboratoire Bayer. Les études ont permis de montrer la non-infériorité de l'aflibercept administré à 2 mg tous les 2 mois par rapport au ranimizumab (0,5 mg toutes les 4 semaines) et une tolérance comparable entre les deux molécules.

La DMLA dans sa forme exsudative a bénéficié depuis 2006 d'une révolution thérapeutique : l'avènement d'injections intravitréennes d'anti-VEGF. Il manquait toutefois le recul suffisant pour dessiner la véritable architecture de suivi du patient à long terme. Les résultats d'études publiées dans la littérature ou issus de notre expérience clinique (étude Paris-Créteil) nous permettent de répondre aux questions les plus souvent posées concernant la maladie, le nombre d'injections et la durée du traitement, l'amélioration espérée de l'acuité visuelle ou le taux d'abandon à…

Tandis que la DMLA est la principale cause de malvoyance après 60 ans dans les pays développés, la maculopathie myopique touche des sujets en pleine activité professionnelle, principalement chez les patients myopes forts, les néovaisseaux apparaissant alors dans 60 % des cas avant l'âge de 60 ans. Les néovaisseaux myopiques sont différents de ceux de la DMLA, sur le plan clinique ainsi que sur le plan de leur réponse thérapeutique, beaucoup plus rapide, aux anti-VEGF.

La chorioréthinopathie séreuse centrale (CRSC) est une affection fréquente, survenant typiquement chez un homme entre 30 et 50 ans. Elle est caractérisée par l'accumulation de liquide sous-rétinien au pôle postérieur entraînant une baisse plus ou moins importante de la vision d'un œil. Le tableau clinique de la CRSC est habituellement typique sauf dans certains cas qui peuvent prendre en imagerie un aspect voisin des néovaisseaux de la DMLA et pour lesquels le recours à l'imagerie multimodale aide le plus souvent à établir le diagnostic.

La dystrophie pseudo-vitelliforme de l'adulte est une affection maculaire relativement rare qui concerne l'adulte d'âge moyen, entre 40 et 60 ans dans sa présentation classique. L'atteinte peut être uni- ou bilatérale. Elle peut être asymptomatique et découverte fortuitement à l'examen du fond d'œil ou bien être responsable d'une baisse modérée de l'acuité visuelle, d'un scotome central ou de métamorphopsies. Le diagnostic repose donc essentiellement sur l'examen clinique du fond d'œil et sur l'imagerie de la macula.

Dossier 2022
DMLA
Coordination, éditorial : Eric Souied,
Alexandra Miere

Dossier
DMLA atrophique :
entre espoirs et déceptions

Coordination : Oudy Semoun

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Baisse visuelle et examen normal : comment je gère en 2026 ?

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La 36e édition des AOP se tiendra en physique au CNIT de PARIS LA DÉFENSE.

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