DMLA

Les injections intravitréennes d’antifacteurs de croissance endothéliaux vasculaires (anti-VEGF) constituent actuellement le traitement de première intention de la dégénérescence maculaire liée à l’âge néovasculaire (nDMLA). Toutefois leur durée d’efficacité est limitée, nécessitant des administrations fréquentes et des visites régulières, ce qui représente une charge importante pour les médecins, les patients et le système de santé. L’objectif final du traitement de la nDMLA est de minimiser l’activité de la maladie, ce qui souligne le besoin de nouveaux agents…

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est une maladie chronique qui impacte largement la qualité de vie des patients. Dans le cas de la DMLA néovasculaire, les injections intravitréennes (IVT), et les consultations qui en découlent, rythment le quotidien des patients, parfois pendant des années. Dans cet article, nous détaillerons les raisons possibles de l’arrêt du traitement dans le cadre d’une DMLA néovasculaire, mais aussi les modalités du suivi qui en découlera.

La dégénérescence maculaire liée à l’âge néovasculaire reste en 2025 une des principales causes de malvoyance sévère dans les pays industrialisés. Ce symposium Roche organisé à l’occasion du congrès MONTI a permis de faire le point sur les avancées récentes de la prise en charge thérapeutique, en s’appuyant à la fois sur les données issues des études cliniques pivotales et sur celles de la vraie vie.

Le laboratoire Roche a mis à disposition en France depuis plus de 1 an le faricimab, qui a obtenu son AMM et le remboursement dans la dégénérescence maculaire liée à l’âge néovasculaire (DMLAn), l’œdème maculaire diabétique (OMD), et bientôt dans les occlusions veineuses rétiniennes – OVR, AMM obtenue en juillet 2024, en attente de remboursement. Le but de ce symposium est de faire le lien entre les résultats obtenus dans les études cliniques pivotales et ceux de la vraie vie, que ce soit au niveau national mais aussi international, où le produit est disponible depuis…

Le décollement de l’épithélium pigmentaire (DEP) drusénoïde est défini par un soulèvement de l’épithélium pigmentaire rétinien (EPR) de la membrane de Bruch sous-jacente, résultant de la confluence de drusen séreux. Selon les critères établis par le groupe AREDS, le DEP drusénoïde est défini par un diamètre supérieur à 350 µm sur les photos couleur du fond d’œil[1]. Il n’y a pas de définition OCT consensuelle du DEP drusénoïde.

La DMLA est une maladie multifactorielle impliquant une interaction complexe entre l’âge et des facteurs génétiques et environnementaux. L’atrophie géographique en est une forme avancée pour laquelle il n’a longtemps existé aucun traitement approuvé, mais 2 nouvelles molécules pourraient désormais ralentir, voire stabiliser son évolution.

En général, la présence de fluide dans la rétine est considérée comme un marqueur de néovascularisation dans la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), indiquant des injections d’anti-VEGF. Cependant, dans plusieurs situations, cette présence de fluide n’est pas forcément associée à une activité néovasculaire et, à ce titre, ne doit pas engendrer de traitement spécifique. Le terme de fluide non néovasculaire est donc à privilégier dans ce cas. Celui-ci peut être associé aux DMLA avec complications néovasculaires et/ou atrophiques. L’enjeu est…

La cataracte et la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) représentent des causes fréquentes de baisse de la vision, affectant particulièrement les patients âgés de plus de 65 ans. Avec le vieillissement de la population mondiale, la prévalence de ces affections est appelée à augmenter. Ces considérations expliquent l’intérêt croissant de la communauté scientifique pour la relation entre ces 2 conditions : existe-t-il un risque accru d’aggravation ou d’apparition de la DMLA après une chirurgie de la cataracte ? Plusieurs études ont été menées pour répondre…

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) demeure la principale cause de perte de vision chez les personnes de plus de 50 ans dans les pays développés. La néovascularisation maculaire (NVM) est la caractéristique commune à toutes les formes de DMLA exsudative. Dans cet article, nous explorerons le pronostic fonctionnel et anatomique ainsi que la réponse thérapeutique de la NVM de type 1 par rapport aux autres formes de néovascularisation dans la vraie vie.

Grâce à l’avancée des techniques d’imagerie, et notamment l’essor de l’OCT, la classification des néovaisseaux associés à la DMLA a évolué et reconnaît actuellement 3 types de néovaisseaux. Cette classification est un moyen d’affiner la stratégie thérapeutique afin de personnaliser le traitement de la prise en charge de la DMLA exsudative.

Le protocole Treat and Extend renforcé (TER) correspond à un schéma de traitement proactif et personnalisé pour chaque patient présentant une dégénérescence maculaire liée à l’âge exsudative.

Pour évaluer la prévalence ou l’incidence d’une maladie, on analyse de manière classique leur taux au sein de cohortes dans des études qui présentent l’inconvénient d’être coûteuses et de concerner une population limitée. C’est pourquoi les cliniciens se tournent désormais vers d’autres modalités d’analyse de données, dont celles de l’Assurance maladie. Il est ainsi possible de répertorier certaines pathologies à partir d’un diagnostic ou d’un traitement, et ce de manière moins onéreuse.

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est une maladie de la rétine complexe dont la pathogenèse est incomplètement élucidée. Plusieurs voies thérapeutiques sont actuellement explorées et compte tenu de l’énorme fardeau que représente la DMLA atrophique, des développements thérapeutiques rapides et continus sont attendus, avec une augmentation des essais cliniques et l’optimisme qu’un traitement efficace sera approuvé dans un futur proche.

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est la cause principale de cécité chez les sujets âgés de plus de 50 ans dans les pays développés. Les avancées des techniques d’imagerie des 20 dernières années ont révolutionné sa prise en charge, que ce soit du point de vue diagnostique ou thérapeutique. L’OCT-A est une technique d’imagerie non invasive, permettant de délivrer des informations sur la structure et le flux de la vascularisation rétinienne et choroïdienne. Elle est utilisée dans le cadre de multiples pathologies rétiniennes, et notamment dans la…

Il est rare, dans notre système hospitalier, que des psychologues interviennent dans un service de consultations en ophtalmologie. Dans l’équipe du Pr Éric Souied, au Centre hospitalier intercommunal de Créteil, nous sommes deux psychologues à rencontrer les patients atteints d’une DMLA ainsi que leurs proches. Cette volonté du service s’inscrit dans le souci de proposer un accompagnement face à une pathologie singulière qui intervient à une certaine période de la vie, impliquant un traitement particulier et qui induit des représentations spécifiques. Après quelques mois…

Dossier 2022
DMLA
Coordination, éditorial : Eric Souied,
Alexandra Miere

Dossier
DMLA atrophique :
entre espoirs et déceptions

Coordination : Oudy Semoun

Riviera Eye Meeting

Cannes - Le Gray d'Albion - France

Programme et inscription : Lien

EuDES

Milan et en ligne - Italie

Congrès de l'European Dry Eye Society

Informations : Lien

MACULART France

Paris - France

Informations : Lien

Rétine et Diabète

Espace Saint-Martin - Paris - France

5e journée Rétine et Diabète

Informations : Lien

JOI

Centre des congrès Pierre Baudis, Toulouse - France

17e Journées d'Ophtalomologie Interactives

Informations : Lien​​​​​​​

Formule 100% web

à partir de
51
an
  • Consultation illimitée de tous les numéros sur le site