DMLA

La tomographie par cohérence optique (OCT) et l’OCT-angiographie ont depuis quelques années révolutionné le diagnostic et le suivi des patients atteints d’une DMLA exsudative. La Fédération France Macula recommande en effet de ne plus recourir à l’angiographie (à la fluorescéine ou au vert d’indocyanine) comme examen de première intention pour le primo-diagnostic de ce type de DMLA.

La reconnaissance des manifestations exsudatives en OCT est essentielle dans l’évaluation d’un patient présentant une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) néovasculaire, tant lors du diagnostic initial que lors du suivi thérapeutique. En effet, la présence de signes exsudatifs tels qu’un décollement séreux rétinien (DSR) confirme le caractère actif d’une néovascularisation choroïdienne. Les conséquences thérapeutiques sont importantes, amenant à proposer des traitements invasifs (injections intravitréennes) actifs, voire même de plus en plus souvent proa…

La mise en évidence d’un décollement de l’épithélium pigmentaire (DEP) est fréquente, le plus souvent chez un patient atteint de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA). La difficulté de la prise en charge repose sur la grande hétérogénéité des lésions comportant un DEP, l’éventuelle coexistence de DEP de différents types chez un même patient, ainsi que la possibilité de formes évolutives. Nous reprenons ici les principales caractéristiques de ces lésions pour mieux envisager leur prise en charge.

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) sèche est de loin la première cause d’atrophie maculaire à l’origine d’une baisse d’acuité visuelle sévère uni- ou bilatérale en cas d’atteinte fovéale. Cependant, il ne faut pas méconnaître ses principaux diagnostics différentiels, plus rares, pour lesquels il existe une prise en charge spécifique. Chez un patient présentant une atrophie maculaire, il convient de mener un interrogatoire policier afin d’orienter correctement le diagnostic étiologique : histoire familiale, âge de survenue des symptômes,…

La maladie de Parkinson est un syndrome neurologique caractérisé par une difficulté d’exécution des mouvements incluant un ralentissement, une rigidité, des tremblements, ainsi qu’une instabilité posturale. La cause de la maladie est inconnue et celle-ci a été définie comme étant une maladie neurodégénérative liée à l’âge. Dans les pays industrialisés, la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est la principale cause de baisse de vision chez les patients âgés. Cette maladie se traduit par une altération de la rétine externe dont le principal facteur de…

12 octobre 2019, San Francisco

ALTAIR Treat and Extend à deux ans : l’extension des intervalles de traitement efficace pour l’aflibercept Les résultats à deux ans de l’étude ALTAIR montrent une efficacité durable de l’approche T&E. Ce sont jusqu’à 60% des patients pour lesquels les intervalles d’injections intravitréennes d’aflibercept sont espacés à 12 semaines et au-delà, faisant baisser à 10,4 en moyenne le nombre moyen d’injections en deux ans, avec une efficacité anatomique et fonctionnelle équivalente à celle du schéma bimestriel. Ces résultats ont été dévoilés à Euretina 2019.

Mme D., 72 ans, est suivie dans le service d’ophtalmologie du centre hospitalier intercommunal de Créteil pour une dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) exsudative de son œil droit. Elle ne présente pas d’antécédents particuliers.

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est actuellement la première cause de handicap visuel dans les pays développés chez les plus de 50 ans. Elle touche en effet environ 8% de la population française et plus de 25% des plus de 75 ans. La constatation d’une insuffisance de traitement lors d’un régime « réactif » a poussé les cliniciens à proposer d’autres types de régimes. Le « Treat and Extend » (T&E) est né de la volonté d’adapter les intervalles de retraitement des patients pour une prise en charge plus personnalisée.

La session de l’ARVO 2019 (28 avril-2 mai 2019 à Vancouver, Canada) a été assez riche. Nous retenons ici certaines données qui peuvent nous servir en pratique quotidienne. Si certains chiffres diffèrent de ceux retrouvés dans les abstracts donnés lors du dépôt à l’ARVO, soit 6 mois avant les présentations, il ne faut pas s’en étonner. Les pourcentages rapportés ici ont été relevés directement sur les posters ou lors des communications. Il s’agit donc de données actualisées. 

Il arrive fréquemment, lors du suivi d’un patient atteint d’une DMLA exsudative, que ce dernier entre dans la catégorie des « résistants », ou réfractaires, malgré un traitement par anti-VEGF. Quelle attitude adopter dans un tel cas ? Il convient tout d’abord de rappeler que la DMLA est la première cause de malvoyance chez les plus de 50 ans dans les pays développés. Elle est principalement due au retard thérapeutique ou à un rythme de traitement inadapté, c’est-à-dire sous-optimal, dans le cas de la DMLA exsudative. L’avènement des anti-VEGF a considérablement…

Tous les ans à l’automne, les ophtalmologistes du monde entier se retrouvent à l’American Academy of Ophthalmology. Cette année, rendez-vous avait été donné à Chicago fin octobre. Toute l’ophtalmologie a été évoquée. Nous rapportons ici les communications sur les pathologies rétiniennes les plus fréquentes.

La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est la première cause de malvoyance dans les pays industrialisés. Une étude récente a estimé que le nombre de patients concernés en 2040 en Europe serait compris entre 3,9 et 4,8 millions (Colijn et al. , 2017). Depuis l’arrivée des injections intravitréennes d’anti-VEGF, le pronostic et la prise en charge des patients atteints de DMLA exsudative ou néovasculaire se sont notablement améliorés. Cependant, le gain d’acuité visuelle peut être limité par l’apparition d’une atrophie maculaire ou d’une fibrose. Il…

La forme atrophique est le parent pauvre des dégénérescences maculaires liées à l’âge. Le traitement « efficace » curatif ou préventif, reposant sur de solides preuves scientifiques, qui permettra de venir à bout de cette pathologie, n’est malheureusement pas pour tout de suite. La mise sur le marché d’un nouveau traitement correspond à un processus long, incertain, coûteux et difficile. Les résultats obtenus ne sont pas toujours concluants mais l’espoir est toutefois de rigueur, supporté par de nombreux essais cliniques en cours.

L’atrophie maculaire n’est pas spécifique à la DMLA. La plupart des pathologies choriorétiniennes peuvent donner un tableau clinique d’atrophie maculaire. Même si la présence de drusen et/ou de pseudodrusen en dehors de la plage d’atrophie est très évocatrice d’une DMLA, il n’existe pas, à l’heure actuelle, de signe clinique pathognomonique diagnostique. Une imagerie multimodale (rétinophotographie, autofluorescence, angiographie à la fluorescéine et au vert d’indocyanine ainsi que la tomographie en cohérence optique OCT et l’angiographie-OCT) est indiquée pour…

Dossier 2022
DMLA
Coordination, éditorial : Eric Souied,
Alexandra Miere

Dossier
DMLA atrophique :
entre espoirs et déceptions

Coordination : Oudy Semoun

EURETINA

Paris - France

25th Euretina Congress au Palais des Congrès
Informations et inscription : Lien

Les formations J&J

Paris - France

Les fondamentaux de l’adaptation en lentilles souples sphériques

Inscription : Lien

Informations sur les formations : Lien

DMLA en pratique

Paris - France

DMLA en Pratique. Journée d'enseignement. Maison de la Chimie. Informations : mail - Programme : Lien

ESCRS

Cophenhague - Pays Bas

43th ESCRS Meeting
Informations et inscription : Lien

Société Française du Glaucome

Lyon - France

La Société Française du Glaucome se réunira pour son deuxième congrès d’automne au Palais des Congrès de Lyon

Le glaucome à angle ouvert de A à Z

Tous les aspects des glaucomes primitifs et secondaires à angle ouvert seront abordés : épidémiologie, physiopathologie, diagnostic clinique, imagerie, formes secondaires, et prise en charge médicale, laser et chirurgicale.

Pour en savoir plus : lien

DOG

Berlin - Allemagne

DOG 2025
​​​​​​​Infrmations : Lien

In Vidéo Veritas 2025

Aix-en-Provence - France

Congrès d'Ophtalmologie In Vidéo Veritas 2025

Cette édition réunira de nombreux experts et praticiens dans le domaine de l'ophtalmologie pour explorer, via des présentations au format vidéo, les différents pôles de notre spécialité ainsi que le futur de notre discipline.

Informations : lien​​​​​​​

EVER - European Association for Vision and Eye Research

Florence - Italie

28th EVER Congress
Inscription : Lien​​​​​​​

Les formations J&J

Paris - FRANCE

La prise en charge de l’astigmatisme en lentille de contact

Inscription : Lien

Informations sur les formations : Lien

Atelier universitaire sur la myopie de l’enfant

Strasbourg - France

Le professeur Arnaud Sauer et son équipe pédagogique de l'université de Strasbourg (soutenus par CooperVision, Essilor, Topcon Healthcare, Precilens et Santen), mettent en place un « atelier universitaire sur la myopie de l’enfant » destiné aux ophtalmologistes ou internes en ophtalmologie. Celui-ci, certifié Qualiopi, se déroulera en deux sessions de deux jours (les 12-13 juin et les 16-17 octobre) dédiées au diagnostic et à la prise en charge de la myopie de l'enfant et combinera apports théoriques et ateliers pratiques. La formation doit ainsi permettre : de décrire l’épidémiologie de la myopie de l’enfant et de ses complications futures, d’organiser la consultation dédiée à la myopie de l’enfant, de connaître les différentes techniques de freination et leurs indications, de maîtriser la prescription et le suivi des verres de freination ou de l’atropine et de s’initier aux bases de l’adaptation aux lentilles de freination de la myopie.

Programme et inscription :

Session 1 : https://www.gepromed.com/formations/2025_ws_myopieevolutiveenfant_s1

Session 2 : https://www.gepromed.com/formations/2025_ws_myopieevolutiveenfant_s2

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