Diagnostic en imagerie de la néovascularisation de type 3
Figure 2. Aspect en angiographie en ICG d’une néovascularisation de type 3 au temps précoce (à gauche) et au temps tardif (à droite). On note la présence d’une hyperfluorescence précoce (flèche rouge) au voisinage d’un vaisseau rétinien avec hot spot au temps tardif.
Diagnostic en imagerie de la néovascularisation de type 3
Figure 1. Aspect en angiographie à la fluorescéine d’une néovascularisation de type 3 au temps précoce (à gauche) et au temps tardif (à droite). On note la présence d’une hyperfluorescence précoce punctiforme au voisinage d’un vaisseau rétinien avec diffusion au temps tardif.
Figure 1. Aspect du trabéculum en MET (grossissement x 470). À gauche. Après ALT : cratère d’ablation au sein du trabéculum uvéal mesurant 95 x 70 µm. À droite. Les faisceaux du trabéculum uvéal et les lamelles du cornéoscléral sont intacts, avec quelques discrètes craquelures (d’après Kramer et al.[7]).
La cyclocoagulation conventionnelle et micropulsée en pratique
Figure 1. Sonde G-Probe du laser thermique appliquée sur la sclère : notons la dépression sclérale par la sonde en regard de la couronne ciliaire visualisée en transillumination.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Applications santé connectées : que conseiller à nos patients ?
Figure 1. Sim by ViaOphta, simulant la symptomatologie ressentie par un patient atteint d’un glaucome (1b), d’une cataracte (1c) et d’une DMLA (1d), par rapport à l’absence de pathologie (1a).
Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.
Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.
Classification et bilan étiologique des uvéites avec atteinte du segment postérieur
Figure 2. Épithéliopathie en plaques avec atteinte fovéolaire de l’œil droit : les lésions jaunes sont visibles en rétinophotographie (A) et typiques en OCT (D) : interruption de la zone ellipsoïde et de la membrane limitante externe, hyperréflectivité de la couche nucléaire externe. La non-perfusion de la choriocapillaire est visible hypofluorescente dès les phases précoces de l’angiographie à l’ICG (B) et à la fluorescéine (E), et persiste au temps tardif de l’ICG (C). Remplissage progressif rétinien au temps tardif en fluorescéine (F).
Lire l'article associé Classification et bilan étiologique des uvéites avec atteinte du segment postérieur
Classification et bilan étiologique des uvéites avec atteinte du segment postérieur
Figure 3. Patiente adressée pour une uvéite antérieure granulomateuse bilatérale. Le fond d’œil révèle une papillite gauche (B) qui est confirmée en angiographie à la fluorescéine (D) et l’ICG révèle la présence de nombreux granulomes choroïdiens bilatéraux (E et F). Une sarcoïdose oculaire et pulmonaire a été confirmée.
Lire l'article associé Classification et bilan étiologique des uvéites avec atteinte du segment postérieur
Figure 3. Image fluo en sablier d’une lentille sphérique sur une cornée torique. Si le confort de port et l’acuité sont satisfaisants, cette adaptation est tout à fait acceptable.
Figure 5. Angiographie mettant en évidence le territoire d’hypoperfusion veineuse.
Lire l'article associé Gestion de l’œdème maculaire secondaire à une occlusion de branche veineuse rétinienne chez un patient en activité professionnelle
Lire l'article associé Gestion de l’œdème maculaire secondaire à une occlusion de branche veineuse rétinienne chez un patient en activité professionnelle
Gestion de l’œdème maculaire secondaire à une occlusion de branche veineuse rétinienne chez un patient en activité professionnelle
Figure 6. Cliché rouge grand champ après photocoagulation rétinienne sectorielle.
Lire l'article associé Gestion de l’œdème maculaire secondaire à une occlusion de branche veineuse rétinienne chez un patient en activité professionnelle
Implant torique posé horizontalement et retrouvé à 70° à J1
Figure 1. Implant torique posé horizontalement et retrouvé à 70° à J1, générant un astigmatisme réfractif de 3,5 D (avec équivalent sphérique nul), alors que l’astigmatisme cornéen n’est que de 2,25 D.
Figure 7. Suivi sur 1 an en mapping épithélial d’un patient porteur d’un kératocône bilatéral avec réduction de la surface d’amincissement de l’épithélium cornéen sur les 2 yeux après l’arrêt des frottements oculaires et l’adaptation en lentille sclérale.
Indication à une chirurgie endoculaire en première intention.
Figure 6. Décollement de rétine alimenté par 2 déchirures périphériques de petite taille, mais associé à un nœud de prolifération vitréo-rétinienne. Indication à une chirurgie endoculaire en première intention.
Décollement de rétine sur trous atrophiques au sein d’une palissade.
Figure 2. Patiente myope forte de 45 ans présentant un décollement de rétine sur trous atrophiques au sein d’une palissade. Indication à une chirurgie par voie externe en première intention.
Imagerie OCT-SD d’une cornée cross-linkée avec un nouveau protocole de CXL transépithélial optimisé par l’hypersaturation en oxygène.
Figure. Imagerie OCT-SD d’une cornée cross-linkée avec un nouveau protocole de CXL transépithélial optimisé par l’hypersaturation en oxygène. La ligne de démarcation postérieure est bien visible à 1 mois postopératoire et l’imagerie correspondante en microscopie confocale confirme une apoptose kératocytaire dans la moitié antérieure de la cornée.
Figure 1. Aspect en angiographie à la fluorescéine d’une néovascularisation de type 3 au temps précoce (à gauche) et au temps tardif (à droite). On note la présence d’une hyperfluorescence précoce punctiforme au voisinage d’un vaisseau rétinien avec diffusion au temps tardif.
Figure 2. Aspect en angiographie en ICG d’une néovascularisation de type 3 au temps précoce (à gauche) et au temps tardif (à droite). On note la présence d’une hyperfluorescence précoce (flèche rouge) au voisinage d’un vaisseau rétinien avec hot spot au temps tardif.
Figure 1. Aspect du trabéculum en MET (grossissement x 470). À gauche. Après ALT : cratère d’ablation au sein du trabéculum uvéal mesurant 95 x 70 µm. À droite. Les faisceaux du trabéculum uvéal et les lamelles du cornéoscléral sont intacts, avec quelques discrètes craquelures (d’après Kramer et al.[7]).
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 8. Examen en lumière bleue après instillation de fluorescéine et retrait de la lentille sclérale. Il existe une kératite en nasal inférieur et un aspect « marécageux » sur le reste de la cornée.
Figure 7. Examen en lumière blanche en fente fine et en fort grossissement. Cette coupe optique permet de visualiser la lentille, l’espace liquidien coloré par la fluorescéine ainsi que la cornée.
Figure 3. Examen en lumière blanche avec le diffuseur. Le diamètre est correct. La lentille est légèrement décentrée en inférieur. Les vaisseaux conjonctivaux sont bien visibles sous le bord de la lentille. Les traits repères sont sur 20° et 200°.
Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.
Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.
Figure 1. Photographie grand champ (Optos) du fond d’œil retrouvant un œdème papillaire, des hémorragies multiples, des exsudats secs et des nodules cotonneux.
Figure 4. Lésions hypofluorescentes en angiographie à la fluorescéine (A), également hypocyanescentes en ICG (B) correspondant à des taches d’Elschnig sur les clichés au temps tardif.
Figure 3. Patiente adressée pour une uvéite antérieure granulomateuse bilatérale. Le fond d’œil révèle une papillite gauche (B) qui est confirmée en angiographie à la fluorescéine (D) et l’ICG révèle la présence de nombreux granulomes choroïdiens bilatéraux (E et F). Une sarcoïdose oculaire et pulmonaire a été confirmée.
Figure 3. Patiente adressée pour une uvéite antérieure granulomateuse bilatérale. Le fond d’œil révèle une papillite gauche (B) qui est confirmée en angiographie à la fluorescéine (D) et l’ICG révèle la présence de nombreux granulomes choroïdiens bilatéraux (E et F). Une sarcoïdose oculaire et pulmonaire a été confirmée.
Figure 2. Épithéliopathie en plaques avec atteinte fovéolaire de l’œil droit : les lésions jaunes sont visibles en rétinophotographie (A) et typiques en OCT (D) : interruption de la zone ellipsoïde et de la membrane limitante externe, hyperréflectivité de la couche nucléaire externe. La non-perfusion de la choriocapillaire est visible hypofluorescente dès les phases précoces de l’angiographie à l’ICG (B) et à la fluorescéine (E), et persiste au temps tardif de l’ICG (C). Remplissage progressif rétinien au temps tardif en fluorescéine (F).
Figure 2. Épithéliopathie en plaques avec atteinte fovéolaire de l’œil droit : les lésions jaunes sont visibles en rétinophotographie (A) et typiques en OCT (D) : interruption de la zone ellipsoïde et de la membrane limitante externe, hyperréflectivité de la couche nucléaire externe. La non-perfusion de la choriocapillaire est visible hypofluorescente dès les phases précoces de l’angiographie à l’ICG (B) et à la fluorescéine (E), et persiste au temps tardif de l’ICG (C). Remplissage progressif rétinien au temps tardif en fluorescéine (F).
Figure 3. Image fluo en sablier d’une lentille sphérique sur une cornée torique. Si le confort de port et l’acuité sont satisfaisants, cette adaptation est tout à fait acceptable.
Figure 3. Image fluo en sablier d’une lentille sphérique sur une cornée torique. Si le confort de port et l’acuité sont satisfaisants, cette adaptation est tout à fait acceptable.
Décollement de rétine sur trous atrophiques au sein d’une palissade.
Figure 2. Patiente myope forte de 45 ans présentant un décollement de rétine sur trous atrophiques au sein d’une palissade. Indication à une chirurgie par voie externe en première intention.
Indication à une chirurgie endoculaire en première intention.
Figure 6. Décollement de rétine alimenté par 2 déchirures périphériques de petite taille, mais associé à un nœud de prolifération vitréo-rétinienne. Indication à une chirurgie endoculaire en première intention.
A-Rio Aquitaine-Rencontres Interactives en Ophtalmologie
Bordeaux - France
Aquitaine - Rencontres Interactives en Ophtalmologie se déroulera à la Cité Mondiale de Bordeaux
Pour cette nouvelle édition, le quatuor organisateur habituel propose le fil rouge des « Algorithmes décisionnels : du bon sens clinique à l’usage de l’IA ». 4 sessions thématiques enchaînant cas pratiques, vidéos et symposiums de l’industrie.